Description du cours : Les méfaits de la démocratie
Cours 1 : Introduction du Sheikh Mouqbil Ibn Haadi Al-Waadi’i et du Sheikh Mohammad Ibn ‘Abdul-Wahhaab Al-Wasaabi. Première partie : L’origine du système électoral et de la démocratie. Deuxième partie : Les méfaits de participer aux élections. Premier méfait : Ne pas juger selon la révélation d’Allah.
Cours 2 : Deuxième méfait : La divergence et la division blâmable.
Cours 3 : Suite du deuxième méfait.
Cours 4 : Suite du deuxième méfait. La signification du terme « Al-Jamaa’ah » (le groupe).
Cours 5 : Troisième méfait : La course et la compétition pour le pouvoir.
Cours 6 : Quatrième méfait : La dispute du pouvoir à ceux qui le détiennent. Cinquième méfait : Le système électoral peut mener à l’élection d’un non-musulman. Sixième méfait : Le système électoral peut mener à l’élection d’une femme.
Cours 7 : Septième méfait : La signature d’alliance avec certains partis laïques. Huitième méfait : Ouvrir la porte aux accusations qui prétendent que la Shari’ah n’est pas complète et qu’elle ne répond pas à toute les nécessités de la Oummah.
Cours 8 : Neuvième méfait : Ne pas suivre l’exemple du messager d’Allah (Sallallahou ‘Alaihi wa sallam) dans la manière d’affronter les ennemis. Dixième méfait : Faire du Qor’an et de la Sounnah une moquerie et de faire de ces deux sources une opinion parmi les opinions qui peuvent être acceptés ou rejetés. Onzième méfait : La perte de la barrière de Al-Walaa wal-Baraa entre les individus qui compose le parlement.
Cours 9 : Douzième méfait : Les élections sont une obéissance aux ennemis d’Allah parmi les juifs et les chrétiens. Treizième méfait : Le système d’électorale détruit l’ordre d’ordonner le bien et d’interdire le mal sur le plan individuel. Quatorzième méfait : Prendre le système électorale signifie de détruite l’objectif d’établir l’Islam en utilisant un moyen qui oppose les fondements de l’Islam. Quinzième méfait : Les élections se basent sur la majorité et sur la démagogie. Seizième méfait : La démocratie amène à perdre les deux conditions nécessaires à la validité de nos œuvres. Dix-septième méfait : La démocratie donne la possibilité à tous les partis de mettre en place son programme électoral. Dix-huitième méfait : Le système démocratique met la voix de l’homme et de la femme, du croyant et du mécréant, du savant et de l’ignorant à égalité. Dix-neuvième méfait : La perte de temps dans des choses qui sont sans aucun bienfait. Vingtième méfait : Égarer le commun des gens en leur faisant paraitre le faux comme étant la vérité qu’il est obligatoire de suivre. Vingt et unième méfait : Soumettre a un vote tout ce que les représentants élus présentent au parlement.
Cours 10 : Vingt-deuxième méfait : L’achat de votes et vente voix. Vingt-troisième méfait : Les photographies.
Cours 11 : Vingt-quatrième méfait : La sortie des femmes de leurs demeures dans le but de les enregistrer dans les bureaux de votes.
Cours 12 : Vingt-cinquième méfait : Dépense de sommes immenses et gaspillage d’énergie pour servir ce genre de Bid’ah. Vingt-sixième méfait : L’imitation des ennemis d’Allah dans le fait de prendre ce système comme fondement. Vingt-septième méfait : Faire des compromis au moment de l’entrer dans les parlements. Vingt-huitième méfait : Manquer de respect envers les Masjids. Vingt-neuvième méfait : Adopter l’idéologie juive : « Le but justifie les moyens. » Trentième méfait : Adopter le principe de la laïcité : « La séparation de la religion et de l’état. »
Cours 13 : Trente et unième méfait : Adopter le principe de liberté individuelle.
Cours 14 : Troisième partie : La réfutation des Shoubouhaats généralement utilisés par ceux qui appellent aux élections. Explication du verset 7 de Sourat Aalou ‘Imraan.
Cours 15 : Réfutation de la première Shoubhah : La démocratie est la même chose que la Shouraa (le principe de consultation).
Cours 16 : Suite de la réfutation de la première Shoubhah.
Cours 17 : Suite de la réfutation de la première Shoubhah et la mention des différences entre la Shouraa et la démocratie. La réponse à ceux qui prétendent que le dirigeant est obligé de suivre l’opinion de la Shouraa. Réponse à ceux qui parlent du droit de vote de la femme en Islam.
Cours 18 : Réfutation de la deuxième Shoubhah : L’utilisation du verset 104 dans Sourat Aalou ‘Imraan. Lecture des fatwas à ce sujet et paroles des savants sur ce verset.
Cours 19 : La réfutation de la troisième Shoubhah : L’utilisation de l’exemple de ‘Omar (Radiyallahou ‘anhou) lorsqu’il a laissé choisir son successeur parmi six d’entre les Sahabahs. La réfutation de la Quatrième Shoubhah : Le fait que ‘Abdur-Rahman Ibn ‘Awf a demandé l’opinion des gens à propos de ‘Outhman et de ‘Ali, et cela représente on modèle de ce qui se fait dans la démocratie. La réfutation de la cinquième Shoubhah : Ils disent que ‘Abdur-Rahman Ibn ‘Awf a pris le conseil des femmes dans l’histoire de la Bay’ah de ‘Outhman. La réfutation de la sixième Shoubhah : Le fait qu’ils veulent faire ressembler la démocratie à la Bay’ah qui se fait entre le dirigent et le peuple selon la Shari’ah. La réfutation de la septième Shoubhah en quatre parties : Ils prétendent que la question des élections est une question d’Ijtihaad (de jugement). 1-Première partie : La réalité de l’attitude de deux extrémistes envers les ‘Oulamas, Les Haddaadiyyahs et les Qoutbiyyahs Sourouriyyahs :
Cours 20 : Suite de la réfutation de la septième Shoubhah et la réalité de la voie des Haddaadiyyahs qui dénigrent les savants Salafis quand ils font des fautes.
Cours 21 : Suite de la réfutation de la septième Shoubhah et la réalité de la voie des Sourouriyyahs qui élèvent les gens de Bid’ah et qui les élèves au rang de savants.
Cours 22 : Suite de la réfutation de la septième Shoubhah. 2-Deuxième partie : La ruse dans la façon de poser les questions. 3-Troisième partie : Les Salafis ne suivent aucun savant de façon aveugle. 4-Quatrième partie : Clarification au sujet de L’Ijtihaad et la différence entre les savants Salafis et les gens de Bid’ah.
Cours 23 : La réfutation de la huitième Shoubhah : Entrer dans les élections fait partie de prendre la moindre dans deux mauvaises choses. La réfutation de la neuvième Shoubhah : Si on participe aux élections on peut changer les choses de l’intérieur, tandis que si on ne participe pas, on ne peut rien changer.
Cours 24 : La réfutation de la dixième Shoubhah : Les élections font partie des choses nouvelles qui sont bonnes et approuvé par la Shari’ah de l’Islam. La réfutation de la onzième Shoubhah : Ils mentionnent l’exemple du prophète Youssouf (‘Alaihis-sallaam) qui est entré dans le gouvernement du roi Kafir et il a réformé de l’intérieur.
Cours 25 : La réfutation de la douzième Shoubhah : La participation dans le parlement amène des bienfaits supporter par la Shari’ah. La réfutation de la treizième Shoubhah : Ils disent que si on n’entre pas dans les élections, on laisse la place aux laïques et aux Francs-maçons et aux autres ennemis d’Allah de prendre le pouvoir. La réfutation de la quatorzième Shoubhah : L’entrer dans le parlement est uniquement par nécessité pour ne pas laisser la place libre aux laïques.
Cours 26 : La réfutation de la quinzième Shoubhah : La démocratie est mieux que la dictature. Et puisque ce système nous est imposé, pourquoi ne pas en profiter dans l’intérêt des musulmans? La réfutation de la seizième Shoubhah : Réaliser les objectifs et protéger les droits des musulmans est une obligation et si une chose est nécessaire pour arriver à faire ce qui est obligatoire alors cette chose devient obligatoire elle aussi. La réfutation de la dix-septième Shoubhah : Les arguments qu’ils amènent pour justifier les alliances qu’ils font avec les partis laïques, communistes, socialistes, Ba’this et d’autres partis de mécréance. Clarifications résumés sur les alternatives et autres points.
Cours 27 : Réfutation des arguments de ‘Abdul-Majid Az-Zindani, un Ikhwaani du Yémen, dans deux cassettes qu’il a fait sur la justification de la démocratie. La première cassette : Premier commentaire sur la manière dont le dirigeant est choisi en Islam.
Cours 28 : Suite du premier commentaire et les citations des Salafs sur l’interdiction de se révolter contre les tyrans.
Cours 29 : Suite du premier commentaire et les règles à suivre au sujet des dirigeants. Deuxième commentaire au sujet de la stabilité politique. Troisième commentaire au sujet de sa parole au sujet des cartes électorales. Quatrième commentaire sur le fait qu’il ne voit aucune autre solution en dehors de la démocratie.
Cours 30 : La deuxième cassette : Premier commentaire au sujet de la Bay’ah. Deuxième commentaire au sujet de la distinction qu’il fait entre la démocratie dans les pays musulmans et dans les pays non-musulmans, lorsqu’il prétend que les musulmans exigent des conditions chez les candidats qui ne sont pas les mêmes que chez les Kouffars.
Cours 31 : Troisième commentaire au sujet de la Bay’ah générale qu’il prétend être une condition pour le Khalifah. Quatrième commentaire au sujet de la Bay’ah particulière qui serait celle des députés qui choisissent qui sera à la tête de la Oummah. Cinquième commentaire sur ce qu’il dit lorsqu’il prétend que de ne pas participer aux élections est équivalent à ne pas se préoccuper des affaires des musulmans. Sixième commentaire au sujet de l’analogie qu’il fait entre l’élection et le fait de prendre un garant. Comme si celui qui vote posait sa responsabilité sur les épaules d’un autre pour qu’il la porte à sa place.
Cours 32 : Septième commentaire au sujet du fait qu’il considère que de ne pas voter est un manquement face au devoir d’ordonner le bien et d’interdire le mal. Réfutation de cette parole en sept points. Huitième commentaire sur la comparaison qu’il fait entre la Bay’ah de Al-‘Aqabah et le choix des députés.
Cours 33 : Neuvième commentaire au sujet du fait qu’il glorifie la constitution qui contredit la Shari’ah! La réponse à cela en quatre points. Dixième commentaire au sujet du fait qu’il prétend que la démocratie est la voie de la liberté!
Cours 34 : Onzième commentaire au sujet de définition fausse qu’il donne à la démocratie en la divisant en deux : Une partie contre l’Islam et une partie contre l’Islam. Douzième commentaire sur le fait qu’il déforme la réalité des principes Islamiques pour les interpréter d’une manière qui satisfait la démocratie! Conclusion du livre et mention des points importants du livre en résumé.
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